Gc2019

Résumé Gamescom 2019 par AzuuRa Mi R

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  • Le 01/09/2019 à 21:05
  • Dans Gamescom
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Une semaine de passée depuis la fermeture du salon allemand, l'occasion pour moi de vous proposer un long billet sur mes impressions et les titres que j'ai pu essayer lors de cette édition 2019 de la Gamescom de Cologne !

Mardi 20 août

Le Bus Magique arrive à Cologne en compagnie de Nico Le Ch'ti et Ayana de GW2.FR, de bonne heure, pas forcément bien réveillés mais prêts à arpenter les halls du Koelnmesse.

WarGaming.net

Comme une tradition, nous nous dirigeons dans un premier temps vers les stands de chez Wargaming.net, qui nous offrent cette année quelques changements. Contrairement aux autres années, pas de postes pour tester les titres phares, mais un parcours d'épreuves très sympathiques sur le thème de World of Tanks. Deux nouveaux titres sont mis en avant : Pagan Online et Caliber.
Si nous testerons Caliber seulement le lendemain, Pagan Online tire sur les plates-bandes de Diablo avec un gameplay nerveux et intuitif. La démo nous a permis d'essayer une instance dans laquelle il fallait défendre un objectif face aux différentes vagues de monstres arrivant de toutes part. Ceci fait, il était possible d'explorer le hub et de partir sur des missions plus longues. Le jeu est actuellement en accès anticipé sur Steam, et ce type de jeu plaira probablement à des joueurs cherchant un vent de fraîcheur sur le hack n' slash.
Caliber, quand à lui, ne s'est pas avéré aussi plaisant. Nous avons pu jouer une petite escouade à 4 joueurs dans une petite ruelle dans laquelle nous avons du réaliser plusieurs objectifs. A la sortie du stand, l'avis était unanime. Il nous sera difficile de vous conseiller ce jeu pour ce que nous en avons vu, le tout étant un très classique TPS qui ne dégage pas d'atmosphère particulière et qui semble arriver beaucoup trop tard sur le marché.


 

Capcom

Notre arrêt suivant a été sur le stand de Capcom, qui présentait la nouvelle extension de l'une de leurs licences phare : Monster Hunter World - Iceborne. Nous avons opté pour une quête multijoueur, et nous avons dû chasser un monstre plutôt résistant sur une carte du jeu de base. Le type de gameplay plaira à certains, mais ce n'est pas mon cas. Etant donné que cet extrait était destiné à des joueurs non habitués du jeu, nous n'avons pas pu voir ce que proposait l'extension mise en avant par le stand.

EA Games

En début d'après-midi, nous avons décidé de nous rendre du côté d'EA, afin d'essayer le nouvel opus de la saga Need For Speed : Need For Speed Heat. Dévoilé quelques jours seulement avant la Gamescom, ce jeu est actuellement l'une de mes plus grosses attentes à venir (date de sortie : 8 novembre 2019). Nous avons pu mettre nos mains dessus pour essayer de courtes phases de jeu. Dans un premier temps, nous avons pu essayer le nouvel atelier de personnalisation sur l'unique voiture jouable de la démo. Pour un modèle haut-de-gamme que représente la Mercedes-AMG GT, les pièces et options de customisation sont plus nombreuses que dans les précédents opus.
Une fois le délai accordé dépassé, et après un temps de chargement très long pour une PS4 Pro, nous pouvons commencer une course de jour sur un circuit improvisé. Premier constat : l'IA est très brutale. Deux voitures adverses m'ont fait sortir de la route au premier virage, et même avec une bonne conduite, je n'ai pas pu rattraper le peloton de tête. Habitué des jeux de courses, je n'ai pas aimé les sensations procurées en terme de conduite. J'attendrai donc de voir si c'est la voiture qui est en cause, ou si l'effet est généralisé même à mon type de voitures habituelles.
La suite nous place de nuit, dans les rues de Palm City, pour une course illégale dans laquelle la police va rapidement intervenir. Pour l'occasion, l'indicateur de recherche utilisé dans les opus Most Wanted, Carbon et Undercover fait son grand retour, et vous permettra de favoriser un véhicule par rapport à un autre pour sortir la nuit en fonction de son niveau de recherche par la police.
Cet opus semble bien parti pour le moment, et dispose également d'une Companion App disponible sur Android et iOS : Need For Speed Heat Studio. Celle-ci est déjà disponible et vous permet de sélectionner l'une des nombreuses voitures du jeu et de modifier son apparence avec les mêmes outils que sur le jeu. Il est ensuite possible d'exporter ses créations si vous disposez de la dite voiture, moyennant le coût des améliorations équipées.

THQ Nordic

Direction THQ Nordic en duo pour essayer Darsiders Genesis, qui abandonne le format classique de la licence pour proposer une expérience de Diablo-like. Jouable en coopération sur la démo, l'instance présentée était très sympathique à arpenter, avec différents personnages et compétences interchangeables à tout moment. Le combat final nous a mis à genoux plusieurs fois, sa difficulté étant bien plus prononcée que tout le reste et n'étant pas des habitués de ce type de jeu.

Xbox

Après un regroupement et quelques photos sur des stands dédiés, nous nous sommes dirigés vers le stand Xbox, qui proposait de nombreux jeux ainsi qu'un petit événement. Première déception : GRID s'est révélé très similaire à ses prédécesseurs. Il faudra attendre que le jeu sorte pour voir si le contenu justifie la sortie d'un nouvel opus, ou si le studio se montre très avare pour faire évoluer sa série.
Le DLC Lego pour Forza Horizon 4 s'est révélé plutôt fun par ses extraits de circuits mettant en scène différentes séries de la marque, y compris les pirates et les astronautes (oui, nous parlons toujours d'un Forza). La conduite semble être détachée des véhicules normaux, et il a été compliqué de rester stable y compris en ligne droite à cause d'une adhérence très limitée. La démo permettait de tester la McLaren Senna sur un circuit mélangeant tous les univers, ainsi qu'une séquence à Londres en Mini.
Du côté des jeux indépendants du programme ID@Xbox, j'ai pu essayer Felix The Reaper, un puzzle game dont la direction artistique est très agréable à l'oeil. Les niveaux sont constitués de cases pouvant être exposées soit à l'ombre, soit à la lumière. Notre personnage peut se déplacer uniquement dans l'ombre, et peut faire pivoter la carte afin de se frayer un chemin jusqu'aux objectifs. Le jeu se prend très bien en main et demande un petit peu de réflexion, ce qui le rend très attrayant pour les amateurs de puzzle games. Pas de date de sortie annoncée pour le moment, mais attendez-vous à le voir débarquer avant la fin de l'année.

Mercredi 21 août

 

CD Projekt RED

Puisque nous arrivons tôt les matins, nous nous concertons pour savoir à l'avance vers quels stands nous allons nous diriger à l'ouverture du salon. A l'unanimité, nous avons décidé d'aller voir Cyberpunk 2077, le nouveau projet de CD Projekt Red. Ce jeu a été annoncé il y a maintenant bon nombre d'années et commençait à ressembler à une arlésienne, mais si aucun report n'est annoncé, nous verrons enfin ce mastodonte arriver le 16 avril 2020. Même si il a été impossible d'essayer le jeu par nos propres moyens, nous avons eu droit à une présentation d'une demi-heure, durant laquelle l'un des développeurs a pu nous dévoiler une séquence du jeu sous différents angles. Ainsi, nous avons pu observer Pacifica, l'un des secteurs de Night City, à travers les yeux du personnage de V, pour exposer de nombreuses options disponibles en jeu : choix de dialogues liés au personnage et à ses compétences, interactions avec les PNJs...
Nous avons ensuite pu suivre le déroulement d'une mission tout d'abord en furtivité, puis en force, ce qui change radicalement la manière de jouer et le résultat. Si il est possible d'interagir avec les éléments électroniques du décor, tel que le panneau de contrôle d'une caméra de surveillance, il se peut également que V soit la cible de cyber-attaques lorsqu'il tente de hacker un équipement. Il est possible de finir le jeu entier sans tuer une seule personne, mais aussi d'utiliser une sorte de câble thermique pour hacker et découper des ennemis.
Si pour l'instant le jeu pique ma curiosité, j'ai également pour le moment quelques réserves sur l'intérêt du jeu sur la durée, mais j'espère qu'il procurera une excellente expérience.

Le temps de la visite du stand Cyberpunk, les halls du Koelnmesse se sont remplis à la vitesse de l'éclair. Ce fut l'occasion pour moi de m'éclipser et d'arpenter les halls réservés au business. J'ai pu discuter avec des membres de studios indépendants, et j'ai sélectionné pour vous les titres qui m'ont paru les plus intéressants. A noter que ce sont tous des jeux développés pour Android/iOS.

Sole Light, de Indeep Studios

Partageant des traits communs avec Monument Valley, Sole Light est un puzzle game présentant une direction artistique soignée et très efficace qui immerge le joueur dans une belle ambiance, très calme. Appuyé par une musique magnifique (mes excuses au compositeur pour ne pas retrouver son nom), le jeu vous mettra aux commandes d'un personnage qu'il faudra amener jusqu'au feu de camp situé dans le niveau. Pour cela, vous devrez temporairement prendre le contrôle de clones afin de pousser des rochers sur des plateformes permettant d'activer des ascenseurs, tout en faisant attention à ne pas faire disparaître trop de cases au sol. Si vous aimez les narrations implicites, Sole Light vous proposera de nombreux éléments à travers ses niveaux pour que vous puissiez petit à petit recoller les morceaux et comprendre le sens profond du jeu. Si vous cherchez un puzzle game pour jouer tranquillement et vous détendre, la narration ne vous entravera pas et vous pourrez profiter du jeu également.
Une démo est disponible gratuitement et la sortie est prévue pour l'automne. C'est actuellement l'un de mes coups de coeur de cette Gamescom 2019.

Jules Verne: The Shape of Fantasy, de Gametopia

Je passerai très rapidement sur Jules Verne - The Shape of Fantasy, développé par Gametopia. Bien que mon essai ait été très rapide, le jeu présente un potentiel certain. Il s'agit d'un plateformer en pixel art qui vous mettra aux commandes de Jules Verne, à travers des niveaux inspirés par les livres du célèbre auteur de fiction.

#DRIVE, de Pixel Perfect Dude

#DRIVE est un runner déjà disponible sur Android et iOS. Le jeu vous permet de conduire des voitures célébres des années 70 et 80 à travers divers niveaux inspirés de différents pays. Il se présente sous la forme d'un runner, dans lequel votre véhicule avancera tout seul, vous laissant la main pour le diriger sur la piste. Des collectibles seront éparpillés sur la route et vous permettront de faire grimper votre score, mais aussi de réparer les dégâts subis par votre voiture ou vous faire oublier de la police qui tentera de vous arrêter. Plutôt addictif, soigné et disposant d'une esthétique très agréable à l'oeil, #DRIVE est un runner original qui ravira les nostalgiques de vieilles autos.

AVA, de Stardust

AVA, développé par Stardust, un petit studio suisse, est un jeu mélangeant des énigmes au coeur d'un conte. Il se présente sous la forme de pages d'un livre, alternant entre une page de texte et une illustration dans laquelle est dissimulée un puzzle en relation avec le texte précédent. Si l'histoire narrée semble assez classique, et les énigmes très rapidement résolues, il n'empêche qu'en l'espace de 5 petites minutes, le jeu m'aura marqué par son mélange de genres et de son esthétique très réussie permettant une immersion totale dans l'esprit du conte. Il est certain qu'il ne plaira pas à tout le monde, mais pour des amateurs d'expériences narratives, il ne faudra pas passer à côté.

 

Edge of Eternity, de Midgar Studio

Le jeu suivant est un projet que je suis depuis plusieurs années, développé par Midgar Studio, un studio français basé à Nîmes. Ainsi, Edge of Eternity se laisse enfin découvrir après de nombreuses péripéties au sein de l'équipe de développement. Il s'agit là d'un JRPG partageant des traits avec la série Final Fantasy, mais présentant un système de combat se rapprochant d'un tactical RPG. L'exploration de la carte, vaste et diversifiée, peut se faire aux commandes de Daryon, le héros du jeu, qui peut également utiliser une monture. Pour ajouter de la vie à cet environnement, des événements dynamiques ont été mis en place, ceux-ci impactant de manière plus ou moins significative l'environnement et la relation entre personnages, ou pouvant débloquer des interactions avec divers PNJs.
Les combats se déroulent sur un plateau formé de cases héxagonales, qu'il est possible d'exploiter en déplaçant ses unités en fonction des ennemis. Après cela, vous pourrez utiliser des compétences et sorts en fonction des personnages de votre équipe, qui provoqueront plus ou moins de dégâts en fonction des attributs de la cible. Une fois les combats terminés, vous pourrez récupérer du butin pour améliorer les statistiques de vos personnages. Le jeu dispose également d'un arbre de compétences fonctionnant avec des cristaux. Ceux-ci peuvent être obtenus en combat, et permettent d'accéder à différentes branches de l'arbre pour se spécialiser dans certains aspects.
Le jeu est pour le moment disponible en accès anticipé sur Steam. Si vous aimez le genre, il s'agit d'un projet à surveiller de très près. A noter que les images ne représentent plus le stade actuel du jeu.

 

Jeudi 22 août

 

Square Enix

Pour profiter de cette dernière matinée durant laquelle nous pourrons profiter des stands sans attendre plusieurs heures, je décide de me diriger vers Final Fantasy VII Remake, développé par Square Enix. Je n'ai jamais touché au jeu original, du fait que je n'ai pas spécialement d'attirance pour la série, que les combats au tour par tour me rebutent dans ce genre de RPGs, et que les graphismes m'ont toujours repoussé. De fait, ce Remake a tout pour plaire sur le papier, avec des graphismes très poussés et des combats en temps réel.
La démo entière, durant une quinzaine de minutes, se place lors du premier attentat du groupe de Cloud contre un réacteur Mako. Pour atteindre le réacteur, la séquence demande d'explorer les différents paliers menant à l'objectif, tout en étant entrecoupée de petits combats rapides. Manette en mains, le jeu est très intuitif, les combats dynamiques avec le Command Menu bien intégré. Ce mode permet d'utiliser des sorts, compétences et objets, en ralentissant le temps en arrière-plan le temps de prendre ses décisions. Vous pouvez également prendre le contrôle des autres personnages de votre équipe ou leur donner un ordre depuis ce menu. Pour introduire cette fonctionnalité, le jeu nous met face à des ennemis au sol que Cloud peut éliminer facilement mais également face à des drones volants qui lui seront inaccessibles. A ce moment, il est possible de contrôler Barret, ou de lui ordonner de les attaquer, pour les neutraliser avec son arme à feu.
Une fois arrivé au réacteur, et introduit au cours d'une très belle cinématique, un boss surgit et doit être neutralisé. Le jeu révèle alors des points faibles pour moi : utiliser son auto-attaque, permettant de charger sa barre d'ATB, pour pouvoir ensuite utiliser ses compétences, et répéter l'opération jusqu'à venir à bout d'un sac à PV m'a paru très long et un brin ennuyeux. Quelques problèmes de caméra se font également sentir durant cet affrontement, ce qui reflète probablement tous les boss imposants.
Les cinématiques, comme évoquées précédemment, sont très belles et soignées. Les phases de gameplay le sont un peu moins : lorsque la caméra était fixée sur Cloud, quand il descendait une échelle, ses vêtements, sa peau et ses cheveux présentaient un aspect un peu grainé, ce qui gâche un peu la beauté du jeu. Sans doute un anti-aliasing un peu léger, qui j'espère sera corrigé d'ici la sortie le 3 mars 2020. En l'état, pour une démo tournant sur PS4 Pro, le résultat pourrait sans doute être peaufiné.
Malgré ça, j'attendrai la sortie du jeu pour pouvoir peut-être enfin pouvoir expérimenter ce titre qui a marqué tant de joueurs lors de sa sortie il y a plus de 20 ans.

Remedy Entertainment

Peu d'attente devant l'un des titres que je voulais essayer depuis un bon moment : Control, développé par les finlandais de chez Remedy Entertainment. Il s'agit d'un Metroidvania à la troisième personne, où vous contrôlez Jesse à travers le Bureau Fédéral du Contrôle, un bâtiment dans lequel sont étudiés les phénomènes paranormaux défiant les lois de la réalité. Il est possible d'utiliser des pouvoirs télékinésiques ou de fabriquer de la matière pour attaquer, de même que d'utiliser l'Arme de Service, un pistolet évolutif.
J'ai commencé la démo difficilement, celle-ci me présentant des phases de combat assez lourdes sans connaître les capacités de mon personnage. Je me suis aperçu, un peu tard, que ma partie n'avait pas été réinitialisée, et que de fait, je n'avais pas eu droit à la séquence servant de tutoriel. J'ai donc réussi à passer, après 3 ou 4 échecs, la première phase de combat, qui était plutôt intéressante à jouer. Pas question de passer en force ici, du fait d'un personnage peu résistant aux dégâts. Il faudra donc user des couvertures au maximum, tout en évaluant l'environnement pour déterminer quels objets peuvent être utilisés comme des armes. Le pistolet de base étant assez faible, il faudra rester vigilant quant aux ressources présentes et essayer d'appâter les ennemis pour les frapper au corps à corps à l'aide d'une formation de matière.
Le déplacement du personnage est différent de ce à quoi je suis habitué et le saut semble lourd, mais l'exploration semble être un point important du jeu, mis un peu plus en avant par un système de quêtes représenté par un tableau de tâches.
Peu d'autres informations à fournir étant donné que j'ai raté la plus grande partie de la démo pour mourir en boucle, mais ce jeu m'intéresse beaucoup, et étant sorti juste après la Gamescom, il faudra que je récupère une connexion décente pour pouvoir en profiter.

Media Molecule

Les halls du Koelnmesse commençant à se remplir dangereusement au niveau des gros titres, j'ai pu profiter d'un petit jeu nommé Dreams sur le stand Playstation. Développé par Media Molecule, ce jeu apporte un nouveau vent de fraîcheur sur ce que le studio proposait à travers Little Big Planet. Il s'agit là d'un sandbox en trois dimensions, dans lequel vous pourrez construire des mini-jeux divers et variés dans des décors à la réalisation très soignée et enchanteresse. J'ai pu essayer un mini-jeu de course très bien réalisé, avec divers raccourcis et interactions avec le décor qui, couplés avec la physique du jeu, m'ont beaucoup fait rire. J'ai également essayé un jeu de football à deux joueurs, utilisant une mécanique de charge très fun, et un shooter spatial. Le jeu semble proposer une quantité impressionnantes d'expériences différentes et est déjà disponible. En plus de pouvoir créer des jeux, vous serez libre de créer ce que vous voulez, à l'instar d'un paysage de nuit très calme et reposant, le tout accompagné d'une musique renforçant le tout, que j'ai pu découvrir dans les recommandations. Si vous aimez les sandboxes et que vous possédez une PS4, je ne peux que vous recommander d'y jeter un oeil.

Vendredi 23 août

Pas de nouveauté pour mon dernier jour à Cologne. Pour ma part, j'ai décidé de me rendre sur le stand de Final Fantasy XIV pour essayer les boss de raid présentés cette année : Titania et Innocence. Si j'ai pu faire tomber Titania de bon matin, il m'aura fallu attendre environ trois heures pour pouvoir affronter et éliminer Innocence.

Enfin, j'ai pu participer au Music Trivia Assassin's Creed, organisé par Access The Animus et Ubisoft, pour décrocher la troisième place et remporter de belles lithographies de l'une de mes séries de jeu vidéo préférées.

Ce fut une bonne journée pour conclure le salon et partir de Cologne sans regrets. Cette édition de la Gamescom, comme pour la plupart, s'est révélée plutôt généreuse. L'absence de Blizzard s'est faite ressentir, de même qu'une certaine timidité du côté de chez Ubisoft et EA Games, ou encore la quasi-absence de Sega qui continue de diminuer sa surface année après année. Nous avons pu voir l'arrivée de nouvelles marques dans le domaine comme Netflix et Google, même si leur présence n'était pas significative sur le salon, y compris Stadia qui, mis à part un stand pour l'essayer sur place, n'a été évoqué nulle part.

En bref, ce fut une bonne édition et j'espère pouvoir retourner sur place à nouveau pour l'année prochaine qui s'annonce très riche, et qui sait, peut-être qu'ArenaNet sera présent cette fois-ci !

Rédaction : AzuuRa_Mi_R
Correction : Brume & Rousskass

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